La représentation figurative étant interdite en Islam, la culture marocaine s’est longtemps distinguée par une variété de la couleur et a cherché son expression plutôt dans la variété de ses motifs géométriques, travail dont témoignent les fameuses céramiques marocaines et les tapis. C’est donc à travers les toiles de peintres européens, comme Delacroix ou Matisse que le Maroc a d’abord été révélé au monde.

Vers les années 40, l’art pictural marocain a pris véritablement naissance avec l’apparition de l’art naïf. Il n’y a qu’à voir, par exemple, les toiles du peintre Rbati

F4M1P012Depuis, deux courants se distinguent au Maroc, celui de l’École du Nord et celui de l’École des Beaux Arts de Casablanca.